Lors de sa visite à ARC, le ministre de l’Industrie a annoncé un nouveau plan de financement pour l’entreprise. Un prêt de l’État à hauteur de 30 millions d’euros et un effacement de la dette passée (120 millions d’euros).
Si la sénatrice se réjouit que de nouveaux efforts soient faits pour préserver ce site et les 3 960 travailleurs cependant, cette dernière regrette que la proposition de transformer les créances publiques en entrée de l’État au capital n’ait pas été retenue.