Ce 8 mars 2021 est la journée mondiale de la lutte pour les droits des femmes. Inlassablement, années après années, femmes et hommes progressistes dénoncent les inégalités et revendiquent leurs droits.
Depuis l’année dernière, la pandémie de #COVID19 a marqué notre pays et le monde.
Durant cette période d’un an qui s’est écoulée, la charge qui pèse sur les femmes a été mise en lumière.
Les métiers les plus essentiels à notre société dans la lutte contre le virus sont dans une très large part des métiers très féminins : aides-soignantes, infirmières, agents d’entretien et techniciennes de surfaces, enseignantes et ATSEM.
Je ne peux pas faire ici une liste à la Prévert, mais je pense bien évidemment à elles, et de manière générale à tous ceux qui ont permis à la France de s’en sortir et qui œuvrent toujours jours après jours.
Le télétravail a également montré que les femmes sont bien celles sur qui la charge mentale et physique du ménage pèse. Ce fait déjà pointé du doigt auparavant s’est accentué avec le télétravail où des millions de femmes doivent répondre immédiatement à : leur télétravail, l’occupation et le travail des enfants, l’entretien de la maison, la préparation des repas, les tâches administratives et de soin…
Le monde d’après doit aussi venir en aide à ces millions de femmes, victimes dans leur chair et leur mental de leur condition. Pourtant, comme le disait Simone de Beauvoir en 1949 dans le Deuxième Sexe : « On ne naît pas femme, on le devient ».
Prenons des engagements dès aujourd’hui pour que cesse cet état de fait dans notre société. Que la femme soit l’égale de l’homme, puisqu’elle est son avenir !